Première: 14 juin 1989.
Théâtre Arriaga, Bilbao.
Musique: P. Donostia.
Chorégraphie: V. Olaeta.
Sur l’étang d’Urbeltz, un groupe de lamiak batifole, un berger rêve que les sons de son alboka les a toutesconduites près de lui. La plus belle, dont il tombe amoureux, devient magiquement un être humain. L’amour finit en mariage, ce qui donne lieu à une série de danses typiques du patrimoine basque.
Première: 20 juin 2003.
Palacio Euskalduna, Bilbao.
Musique: J. Arambarri.
Chorégraphie: V. Olaeta.
C’est la pleine lune dans la clairière du bois où les crapauds prennent leurs aises. Mais le bouc vient interrompre leurs jeux car il a besoin de l’espace pour son akelarre, durant lequel apparaît toute une série de personnages de la mythologie basque.
Première: 3 août 1949.
Théâtre Principal, Donostia-San Sebastián.
Musique : populaire, harmonisation : J. Uruñuela.
Chorégraphie: V. Olaeta.
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Le menuet est une danse classique française de la cour de Louis XIV, mais sa période de splendeur fut sous le règne de Louis XV. Au XVIII siècle, les danses de la cour étaient répandues dans toute l’Europe et les « Caballeritos de Azkoitia » les introduisirent dans le Pays Basque avec les mêmes costumes et pas de danse, mais en incluant les pointes basques dans le menuet.
Première: 4 juin 1993.
Portugalete.
Musique de J. Guridi.
Chorégraphie: V. Olaeta.
Ballet chorégraphié pour commémorer le centenaire du « Puente Colgante », on y retrace la vie d’un port de pêche basque, avec ses travaux, ses peines, ses joies et ses fêtes.
Première: 10 juin 1953.
Théâtre Campos Elíseos, Bilbao.
Musique: J. Franco.
Chorégraphie: V. Olaeta.
Les quatre saisons de l’année, comme les quatre âges de la vie. Le printemps est joueur, insouciant et joyeux.
L’été est la force, la puissance.
L’automne est la sérénité, l’élégance et l’harmonie de l’âge.
L’hiver est imprégné de la moquerie basque.
La fin du ballet est un joyeux arin-arin.
Première: 28 mai 1963.
Théâtre Arriaga, Bilbao.
Musique: S. Ruíz Jalón.
Chorégraphie: V. Olaeta.
La nuit de la Saint Jean, le guetteur de Matxitxako allume un bûcher pour prévenir les pêcheurs. Sa femme se rend à la chapelle de San Juan de Gaztelugatxe, où elle doit accomplir la promesse faite pour la guérison de son fils. Avant de partir elle observe un groupe de gitans qu’elle essaye, sans succès, d’éloigner. Après le départ de sa femme, le guetteur est invité par trois pêcheuses à s’amuser, profitant de sa distraction, les gitans pillent, mais ils sont découverts par des pêcheurs et sont obligés de s’enfuir. La femme en rentrant, découvre les trois intruses, elle les chasse sans plus. Son mari essaye de se réconcilier, au début elle le rejette, mais finalement elle lui pardonne.
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Première: 23 juin 1961.
Plaza de España, Hernani.
Musique: J. Olaizola.
Chorégraphie: V. Olaeta.
Lorea est l’héritière d’un manoir, elle est orpheline et vit avec Jaunbelz, son oncle et tuteur. Lirain, le domestique de la maison est amoureux de Lorea, elle correspond à son amour, mais Jaunbelz ne voit pas d’un bon oeil cette relation, puisqu’il veut Lorea pour lui. Lirain rêve qu’il est un dantzari qui arrive à Zorgiñeta, pays de légende où il va y avoir un tournoi, le vainqueur aura la main de la reine, celle-ci n’est autre que sa bien-aimée Lorea. Arrive Zaldun, personnage diabolique symbolisé par Jaunbelz, lequel prétend aussi emporter le prix. Zorgiñeta se pare et le cortège apparaît accompagnant la reine des fées. Les deux personnages se battent en duel, le vainqueur est le Dantzari, alors que Zaldun est méprisé même par ses partisans. Le Dantzari arrive à la reine laquelle ordonne une danse pour lui rendre des honneurs.
Première: 28 mai 1957.
Théâtre Coliseo Albia, Bilbao.
Musique: J. Guridi.
Chorégraphie: V. Olaeta.
Mikel, pelotari basque, après plusieurs années d’absence au cours desquels il a triomphé en Amérique, revient à son village de pêcheurs, justement au moment des fêtes du saint patron du village. A son arrivée, il trouve que sa fiancée Usoa a un autre prétendant, il est également un pelotari reconnu, mais elle attend toujours Mikel. Les deux rivaux décident mettre à l’épreuve leur courage lors d’un match de pelote. Mikel l’emporte et tout le village fête le triomphe le jour de la Saint Pierre avec la Kaixarranka, bal traditionnel.
Première: 1 juin 1960.
Théâtre Arriaga, Bilbao.
Musique: V. Zubizarreta.
Chorégraphie: V. Olaeta.
L’action se déroule dans un tout petit village basque qui est encore sous l’emprise de superstitions de sorcières et des akelarres. Kardin, une jeune orpheline qui vit avec sa grand-mère, a trois prétendants, (un pêcheur, un berger et un militaire), elle pense être amoureuse de chacun des trois…
Première: 4 mai 1966.
Théâtre Arriaga, Bilbao.
Musique: G. Pierné, Peña y Goñi, J. Franco, P. Donostia et J. Arambarri.
Chorégraphie: V. Olaeta.
Hommage aux anciens. Les jeunes demandent aux doyens comment dansaient-ils autrefois, ce qui donne lieu à tout un ensemble de tableaux basques qui vont dès la chasse du merle, jusqu’aux images des sardinières et du pêcheur qui gâche la vente de leur marchandise.
Première: 9 juin 1964.
Théâtre Arriaga, Bilbao.
Musique: J. Arambarri.
Chorégraphie: V. Olaeta.
Pimpilimpausa agonise et meurt. Après son décès, son attristé mari, Aiko Maiko est écouté par le ciel, il lui a offert sa jeunesse en échange de que sa femme revienne à la vie. Pimpilimpausa revit, apparaît le jeune Odoloste qui tombe amoureux d’elle, celle-ci correspond à son amour. Lors d’un procès, on rend la jeunesse à Aiko Maiko et Pimpilimpausa meurt lentement.
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